POM POM POM Bonjours les petits enfants | PV Lene

Alex regardait toujours, puisque aucun des deux "adolescents" n'avait le sens de l'orientation autant marcher à l'aveugle. Ils iraient où le vent les menerais. La où le coeur les emporterais. Ouais non la sa devient trop "Les Hauts De Hurlevent" c'est du poétique pas du réel.

"Bon ben puisqu'ons doit marcher autant marcher."

Une phrase sans réel interêts juste pour dire quelque chose. Si le silence avait envie de venir autant le faire fuir afin qu'il trouve d'autres cibles, d'autres proies à son maquiavélique jeu. Les gens dans la rue voyais dexu paumés marcher les regardaient deux secondes puis vivaient leurs vies. Les gens sont drolement matures içi! C'est la vie et puisqu'ons l'a en notre possession autant en profiter.

Lene marchait un peu bizarement dans la rue, enfaite elle marchait toujours comme ça, c'était sa p'tite marche à elle, elle l'apellait 'la marche de la Lene' et pas 'La marche de la laine' ou 'la marche de l'empereur' XD.
Elle marchait bizarement, on ne pouvait pas expliquer ça façon de trainer les pieds tellements c'était bizard.

« Au moins ça nous aura servi à pas manger là-bas =) J'aime pas l'école, je deteste les cours et je hais cette pension... ! »

Lene n'avait jamais aimé l'école, elle trouvait ça barbant et tellement naze! Mais elle devait y aller, elle n'avait pas encore 18 ans, d'ailleurs le jour où elle les auraient allait être les plus beaux de sa vie!

"Si sa peut te rassurer moi aussi je hait cette pension!"

Alex avait toujours détesté être enfermé, autant étant petit qu'étant grand. Voila la raison de ses nombreuses fugues. Il en avait fait beaucoup, pour fuir sa maison, fuir sa chambre, fuir sa punition et fuir le conflit. Il fuyait tout et fuyait beaucoup mais n'était pas lache pour autant. A chaque pas Alex regardait où il allait, essayant de retenir le chemin qu'il faudrait faire pour revenir en arriére, en prison pour mineur si on peut dire. Il est dur de retourner à l'endroit que l'on fuit.

[désolé c'est un peu court]

Lene marchait toujours avec sa marche spéciale derrière Alex, enfaite elle prennait souvent son temps pour marcher. Sa pensée du moment c'était 'Bon putaiin, y'a pas un café ou un restau par là ?'. Et la réponse du moment était tout simplement NON. Il n'y avait que de simples maisons, il n'y avait aucun café ni même aucun bar, ils n'étaient pas au centre-ville, à vrai dire ils devaient même en être assès loin.
Avec ses godasses completement bousillées, Lene marchait et s'explosait les pieds. Elle trouva alors un groupe de gens, pas agé mais pas ados pour autant, et elle s'avança vers eux. Ils faisaient un footing, une jeune homme et une jeune femme qui avaient l'air assès éssouflé, ils tenaient dans leurs mains des bouteilles d'eaux et une pomme.

« Euuh excusez-moi je... Mon copain et moi on cherche un café ou même un bar... Enfaite ça fait presque un jour qu'on a pas mangé et... Là moi j'en peux plus, je vais faire une crise, s'il vous plaît j'vous en suplis, vous pouvez me donner à manger ? »

Le jeune couple l'a regarda bizarement, puis jetta un oeil vers Alex. Lene faisait l'air de chien battu qu'elle faisait toujours quand elle voulait quelques choses. La jeune femme lui tendit la bouteille d'eau ainsi qu'une pomme. Lene prit un air soulagé et lui fit un beau sourire puis se dirigea vers Alex en remerciant le jeune couple.

Alex aussi voyait bien qu'il marchait en vain... Rien, juste de simple maisons sans interêts réel pour nos deux jeunes gens. Alex marchait, au moins il irait quelque part. Tout les chemins mènent à Rome! Alex commençait à fatigué, il n'allait pas survivre sur une ile alors pourquoi les priver de quelconque nourriture? Radin va! C'est quand un couple de coureur se trouva pret d'eux que Lene eu une idée intelligente. Alex sourit, il attendait de voir ce qu'elle ferait. Il la vit faire une scéne de commédit d'affamée désperée qui marcha à merveille, Lene revint avec une bouteille d'eau et une pomme, c'est déjà sa. Il remercia le couple à son tour et fit un grand sourire à Lene.

"Tu devrais être comedienne, enfin actrice je suis sur que tu aurais ton rôle dans Titanic!"

Lene avançait lentement vers Alex, avec un leger sourire aux lèvres. Elle tourna une dernière fois la tête pour s'appercevoir que le couple avait disparu. Elle se mit alors à rire et tira la langue à Alex. Elle souria à sa remarque, actrice, avec autant d'echecs scolaires ?! C'est beau de rêver.

« Ouaii, je sais =P Arrête, dans Titanic ! J'me vois mal jouer la belle Rose riche pourri gâtter qui croit en l'amour en plus ! »

Lene souria et jetta la bouteille d'eau à Alex avant de croquer dans la pomme. Elle n'avait jamais vraiment songé être actrice, mais à vrai dire, se n'était pas vraiment se qui l'a pationnait. Sa passion ? C'était une bonne question.

« Quand-même, ce film en aura fais chialer plus d'un ! Avec le beau Jack et la riche Rose ! =D »

"C'est par ce que c'est un film culte qu'il fait chialer tout le monde... Moi j'Te verrais bien en fille riche et pourrie gaté comme Rose, pit l'amour c'est pas si débile que sa... Ya du bon à être riche je pense."

Il est vrai qu'Alex n'avait jamais vraiment cécu dans le luxe, le modeste, le moyen. Comme tout le monde et ce n'est pas le genre de chose qui le complexe. Puis sa ne l'avait pas empecher d'avoir la côte auprés de charmantes demoiselles! Il est vrai qu'il se verrait bien hyper riche avec une canne en or pour marcher, oui mais il marchait trés bien! Alex se disait qu'il avait l'âge de refaire sa vie et que de toute façons il était jeune et que si il veut tout refaire il peut. Il suffit juste d'avoir de l'ambition et du courage, et bien sur de ne pas être préssé par ce que la célébritée sa ne vient pas comme sa en claquant des doigts! Alex avait un grand sourire.

C'est vrai que ça devait être pas mal d'être riche, mais une fois que t'as grandi, tu né pauvre tu vis pauvre. Tu né riche tu vis riche. Sauf si de SDF tu passes à star du rock ou si de monsieur pétés de tunes tu passes à Sans-abris. Lene, quand à elle, n'avait jamais vraiment connu la richesse. Enfaite, Lene avait vécu pas dans la pauvreté mais elle était loin d'être riche. Elle se situait bien en dessous de l'échelle de la richesse, auparavent sa mère avait eu beaucoup de soucis financier. On ne va pas expliquer se qui c'est passé dans son enfance, la miss le dira si elle en a envie ^^'.

« C'est clair qu'être riche, ça doit être cool, m'enfin à force ça doit être barbant ! Enfin j'ai jamais été riche donc je peux pas savoir s'que ça fait ^^' »

Lene avait vécu dans le malheur, on peut dire qu'elle y était pour quelque chose de rejetter sa mère ainsi, mais vu la façon dont elle était née...

« Et si l'amour c'est pas si débile que ça je vois pas les trucs de bien, c'est triste et ça fini toujours mal ! »

"Sur le point de l'amour tu à tout à fait raison mais justement c'est quand sa finit mal qu'on se rend compte l'amour qu'on avait. C'est sa qu'est beau justement!"

Ce que venait de dire Alex n'avait pas vraiment de sens mais peut importe, quand tu aime quelqu'un qui sans est partit sans vous dire Adieu l'amour reste présent, certes l'amour fait souffrir mais c'est touchant. Se rendre compte que même aprés trois ou quatre ans d'absence votre coeur bats toujours pour elle, que même si elle n'est plus là rien que le souvenirs de son visage vous redonne l'amour, que regarder sa photo fait battre votre coeur à cent à l'heure. C'est horrible de le voir attaché à quelqu'un qui n'est plus de ce monde. De voir comme il l'aime, sa le detruit. Il sort avec une fille, puis pense à elle et casse, c'est le cercle infernal. Il était devenu agressif a cause de ce malheur. Il s'était renfermé sur lui. Le voila mit dans le tas des adolescents. à problémes, des jeune jugés difficiles. Des jeunes de cette Académie si je puis l'apeller comme sa.

"Moi j'pense que sa doit être trippant d'être riche!"

Tout ce qu'Alex voulait c'est l'oublier...

La jeune blondinette n'avait jamais réellement connu l'amour et la seule fois où elle avait cru l'avoir trouvé, elle s'était completement planté puisque son mec l'avait largué sans raison valable. Lene l'avait très mal pris, elle avait d'ailleurs fais plusieurs tentatives de suicides suite à ça maiis... Elle s'en était remise et c'était promi de ne jamais retomber amoureuse, ça faisait trop mal.

« Les bons côtés dans l'amour n'existe pas mon p'tit Alex, enfin moi j'en trouve pas ! Les seuls truc c'est qu'une fois que ton mec te largue, il te reste plus que les yeux pour chialer et ton cuteur à te planter dans la peau ! »

Elle était très morbide comme fille Lene, mais elle riait pourtant très souvent. Elle s'enfermait dans son monde le soir dans son lit ou quand elle était seule, mais elle laissait parraitre l'image d'une jeune ados parfaitement bien dans sa peau et dans sa tête.

« C'est clair que ça doit être bien tripant, mais après, on te traite de gosse de riche... »

"Ouais peut être mais quand tu reflechit, c'est beau d'avoir envie de mourir pour quelqu'un, j'Trouve sa trop beau comme sentiment. Pis quand on aime quelqu'un toute sa vie même si il ne vous aime plus ou qu'elle est morte enfin voila j'ai raison!"

Alex aimait se donner raison, de plus ce qu'il venait de dire était bien vrai. Tout le monde dit que l'amour ne sert à rien, mais où est l'interêts alors d'exister. L'amour c'est se lever le matin et penser à elle, c'est manger en pensant à elle, c'est penser à elle à n'importe quel moment, c'est ne parler que d'elle toute la journée, c'est réver d'elle chaque nuit, c'est avoir l'impression de sentir son parfum embaumer vos coussins, c'est le plaisir d'écouter sa voix, c'est la sensation que sa vous fait d'entendre sa voix, son rire. L'amour c'est être son son petit nuage, ne plus voir le malheur qui vous entoure, les autres s'inquiètent pour vous mais vous êtes toujours là à l'aimer. Puis elle à un accident de voiture et décéde, vous n'y croyez pas. Tout le monde à peur de votre réaction mais vous êtes là, votre amour toujours aussi fort, vous n'êtes plus le même. Vous souffrez de son absence, vous souffrez de vos souvenirs, vous souffrez de ne plus l'embrasser, de ne plus lui parler, de ne plus la prendre dans vos bras, de ne plus ecouter son coeur qui bat vous n'êtes pas vous. Vous marchez mais vous ne savez vers où vous aller, vous n'avez qu'un envie c'est vous allongez par terre et rester toute votre vie ainsi. Quand enfin vous réaliser vous pleurer, vous avez qu'une envie c'est mourir mais l'amour remporte encore, vous vous dites que si vous mourrez vous ne l'aimerez plus alors autant survivre, alors vous survivez. Agressif, seuls vos amis vous supporte, seuls eux vous comprenne. La société ne veut plus de vous, vous êtes rejeté de la société, vous êtes reclut. Mais vous êtes toujours là. Et vous êtes diagnostiqué comme un jeune à problémes! Non sans rire! Votre mére ne vous comprend pas. Qu'elle aye se faire foutre! Vous voila dans un pensionnat, vous êtes à votre plus grand echec.

Par amour...

Lene à raison en faite.

Quand à l'argent, qui écoute les autre? Personne!

"T'écoute les autres toi? T'est pas une femme libérée?"

C'est vrai qu'Alex avait raison, l'amour était l'une des plus belles choses au monde, encore fallait-il que cette chose soit réciproque et surtout 'forever', comme on dit. Il fallait que ça marche des deux côtés, il fallait être deux pour avancer, il ne fallait pas qu'un s'arrête en chemin, il fallait juste qu'ils se tiennent par la main et s'encouragent. Mais arrivait un moment où ils n'y arrivaient plus, où leurs mains étaient trop collés, et où elles finissaient par ce lâcher. Puis c'était alors le tour de leurs jambes et celui de leurs chemins, ils s'éloignerent, l'un parti à gauche, l'autre à droite.
L'amour, c'était une histoire, une chose en commun, quelques chose de partagé et pas quelque chose de perso. Lene avait connu l'amour, mais cet amour l'avais lâché pour une autre, suite à ça la blonde avait connu les pires années de sa vie.

« C'est beauu mais ça fais mal, parce que ça fini toujours mal, parce que rien n'est eternelle et le bonheur est ephèmere. »

Non Lene n'écoutait pas les autres, mais un minimum pour savoir se qui allait ou pas en elle. Un minimum pour voir que les autres la jugeait sans arrêt, un minimum pour comprendre qu'elle n'était pas comme les autres.

« Naan maiis... J'suis obligé de tendre une oreille que on parle de Lene Rangers. »

"Nann, c'est pas éphemère l'amour, quand c'est le vrai amour c'est eternel, j'en suis la malheureuse preuve vivante!"

Les adolescent aprés une rupture souvent ne croyaient plus en l'amour, se bruler les ailes sa fait se remettre en question certes mais qui peut prouver que l'amour est éphemère alors qu'Alex était encore amoureux d'une fille qui est morte. On ne peut pas juger pour tout le monde mais quand l'amour prend fin c'est la qu'on voit que ce n'était qu'un sentiment superficiel. Des sensations purement orgasmique... Le vrai amour est réellement eternel même si l'histoire est tragique. Il faut voir Jack et Rose dans Titanic, il faut voir Roméo et Juliette, il faut voir Belle et Sebastien, la Belle et la Bête, Cendrillon et son Prince, Bonnie et Clyde (même si sa...) Et Alex et elle... C'est la vie, souvent quand on rencontre le grand amour l'histoire est tragique c'est obligé, on ne se mari jamais avec celui qu'on aime le plus au monde, celui la fait parti du passé, il à mal finit mais malgré tout on y pense toujours. Ce n'est que la tragique véritée!

"Le bonheur est éphemère si tu veux."

Car un jour il vous laisse en plan, tout le monde doit le quitter un petit ou un grand moment, il vous laisse aux moments les plus catastrophiques, pour vous faire bien souffrie. Le bonheur est sadique et nous sommes tous masochistes. Mais Alex n'écoutait pas les autres, il veut être lui même et personne d'autres, on peut toujours parler sur lui, sa ne l'atteind. Le contraire de l'amour n'est pas la haine c'est l'indifférence...

"Ceux qui s'enerve quand on parle d'eux en mal prouve qu'il aime qu'on parle d'eux car le contraire de l'amour c'est l'indifférence pas la haine."

(Réplique sortit de Desperate HouseWives xD)

Sii ça l'étais, du moins pour Lene. Parce qu'elle avait connu des histoires, certaines qui durent une nuit, qui ne sont pas faites pour durer plus longtemps, certaines qui durent un peu plus longtemps et d'autres qui dure toute la vie. Le premier amour est impossible à oublier, parce que c'est celui auquel on est sencé se souvenir toute une vie, celui qu'on regrette parfois...

« L'amour ne reste pas plus de temps que le bonheur, parce que bizarement, quand tu perds l'amour tu perds la joie de vivre. Certains s'en remette sans mal, mais d'autre n'y arrive pas et aujourd'hui ils sont toujours bloqué au lieu de s'ouvrir vers d'autres personnes mieux que la précédente. »

Lene avait dis cette phrase sans viser personne, enfin, peut-être qu'elle se visait elle-même, parce qu'elle ne c'était pas remise de sa rupture avec son ex, ce qui faisait déjà à peine plus d'un an. Ca avait déjà été dure pour elle d'apprendre les raisons de sa naissance, et cet amour pour ce certains Math' l'avait aidé à ce relever, il lui avait tendu la main, elle avait prit le bras et il avait lâché, sans explications. Elle l'avait mal prit, une seconde chute, une rechute. Elle était tombée mais cette fois de plus haut et sur des cailloux. Ca fait mal, horriblement mal.

« Moi ça n'me fait rien qu'on parle de moi, chacun est libre de penser se qu'il veut de moi. J'ai appris à faire face au regard des autres, et c'est bon. »

Sa devenait une discution philosophique sur la vie! Oui d'accord oublier son premier amour est parfois impossible est peut être est ce la raison pour laquelle il n'arrivait pas à l'oublier, la raison pour laquelle, elle le hantait jour et nuit et que chaque nuit il revait d'elle. La raison pour laqu'elle chaque matin en se levant il pensait à son visage pour ne pas l'oublier... Toute cette peine depuis trois ans et demi, depuis qu'elle avait donné son ame à Dieu dans une voiture au beau milieu de l'autoroute. Pourtant Alex menait une vie joyeuse, il fesait partit de ses gens qui aime rigoler, mais il n'arrivait pas à enterrer cet amour!

"On peut être heureux et souffrir, on peut mener une vie normal et se sentir seul, sa arrive aussi. Y a pas que le côté morbide."

Alex se sentait joyeux, il avait une vie faite de rire et n'était pas depressif, pourtant elle était morte, pourtant il l'aimait, il l'aime et et n'arrete pas de l'aimer. Il l'aimera surement toute sa vie. C'est bizzard de se dire que tout le monde voit toujours le côté triste d'une séparation. Même la plus grande des distances n'empeche rien, même la haine, même l'indifférence ne peut briser l'amour de quelqu'un. Quand à ce que peuvent bien penser les autres, tant pis. Les seuls que sa intéresse c'est eux même! Chacun peut bien vivre sa vie comme bon lui semble, on vous dira que les amis sont la, en cas de mauvaise passe mais vous aident-il vraiment? Ils vous voyent sombrer et ne vous tendent même pas la main pour vous rattraper, ils se contente crier et pleurer et vous regarder tomber, esperant que vous vous rattraperez à une branche et qu'en faite vous vous sauverez tout seul! Pauvres LACHES!

Certes il n'y avait pas que des mauvais côtés dans une histoire d'amour, encore heureux ! On passait un bon moment à aimer une personne en secret, à ce morfondre dans son coin en attendant qu'il fasse un signe, mais lui de son côté ne disait rien, et vous voyez presque comme un etre invisible, alors que pourtant vous êtes bien là, et vous voyez l'image de cette personne chaque jour, chaque nuit et à chaque instant, en croyant que cette personne ne vous croit même pas en vie. Et puis viens le jour où il est là, vous faites connaissance avec cette personne tant aimé et vous l'aimez encore plus, et viennent les sentiments pour lui, et là c'est les étoiles dans les yeux. Premier bisou, puis second puis va la vie...
Maiis un beau jour, alors que vous voyez la vie comme vous ne l'avez jamais vu, il vous annonce que vous ne compter plus, où vous le remarqué par vous-même. Mais c'est trop tard, il est déjà parti, vous laissant seul avec votre amour perdu. Et là c'est triste, mais c'est la vie.

« Être heureux devant les autres et souffrir par derrière, on peut mener une vie normale et se sentir seul, le soir, dans son lit après un après-midi de fou rire. Les côtés morbide de la vie exist, les fous rires aussi. »

"Ben je dois pas être normal alors par ce que j'ai jamais aucun côté morbide depuis trois ans. Je le vis trés bien je trouve."

Il y a des gens comme sa, qui vivent pratiquement une vie parfaite. Genre ils leurs arrive tout les malheurs du monde et il sont quand même super heureux et souriant, comme chez les Bisounours. Ils sont allongé par terre avec une balle dans le ventre et y sont mort de rire, ce n'est qu'un exemple... Quand il avait appris sa mort, Alex avait tout d'abord éclaté de rire, croyant à une blague. Quelque chose qu'Alex aujourd'hui regrette, sa joie de vivre et son sourire son parfois un boulet pour Alex, trop de rire devient agaçant. Puisque la vie est comme sa, puisqu'on est vivant, autant en profiter. Les autres peuvent bien etudier, les autres peuvent bien dormir la nuit, les autres peuvent bien avoir peur de la drogues, les autres peuvent bien ne pas avoir envie de fumer, les autres peuvent bien craindre l'alcool, les autres peuvent bien être encore vierge enfin les autres peuvent bien faire ce qu'ils veulent, gacher leurs vie c'est leurs probléme, attendre en vain c'est leurs choix. Mais aprés ils regretterons. Tant pis! La discution était trés personnelle et Alex ne desirait pas que des passants dans la rue l'écoute. Ils on qu'a allez voir leurs potes et parler!

Lene avait rencontré Alex depuis seulement quelques jours et ils en étaient là, à secher l'heure du repas ensemble, à parler de tout et de rien, à débatre sur un facheux sujet qui n'était autre que l'amour. Elle était son amie, certes, mais finalement elle ne connaissait que peut de chose sur ce fameux Alex, peut-être même que peu de choses. Elle s'avait qu'il s'apellait Alex, qu'il ne voulait rien foutre à l'école, qu'il était plutôt de nature heureux et qu'il était à Silzer. Mais que savait-elle de plus sur lui ? Rien. Etait-ce trop tôt pour faire plus ample connaissance ? Non, pas au goût de Lene en tout cas, même si elle n'allait pas reveler ses moindres secrets, elle pouvait se confier, à condition qu'on pose des questions.

« Pourquoi tu serais pas normal ? J'ai eu beaucoup de blessures dans ma vie, aujourd'hui je souris, je vis et j'cherche pas la mort ! »

Quand elle disait pas, elle pouvait dire plus, car aujourd'hui elle avait enterré la mutilation et les cuteurs qui vont avec.

« Alex... Il s'est passé quoi y'a 3 ans ? »

Quand Alex entendit la question que Lene lui posa, un silence apparut. Il n'en avait parlé a personne, même pas à sa mére. Il en avait tellement souffert qu'il avait voulut rester seul face à ses tords et aujourd'hui, aujourd'hui quelqu'un cherchait à comprendre. Mais qu'y avait-il vraiment à comprendre? Alex se voyait déjà trois ans auparavent, autiste, refermé, agressif, incontrable, ingérable, refoulé! Ne lui restait plus rien, elle n'était plus la. Il n'existait plus. Alex ne conaissait pas trés bien Lene, il savait qu'elle avait déjà souffert, qu'elle s'appelait Lene et qu'elle était dans le même pensionnat que lui mais pour une raison qu'Alex ne conaissait pas.

"Il y a quatre ans, je suis sortis avec une fille, une fille génial et c'est avec elle que j'ai perdu ma virgnité."

Alex commençait à regretter de commençer à deballer sa vie mais puisqu'il avait commençer autant continuer.

"Et on est sortit ensemble un ans, on s'aimait tellement, puis il y a trois ans, un ans d'amour s'était écoulé et il a fallut qu'elle ai un accident de voiture avec ses parents, elle n'a pas survecu. Je ne l'ai dit à personne, je l'est caché à mes amis, ma famille et personne à part toi ne sait vraiment ce qui c'est passé."

Le silence vint boucler le recit d'Alex.

Au premier blanc, Lene sentit qu'Alex n'avait pas spécialement envie d'en parler, ou alors ça lui faisait très mal de débaler ça à une inconnue. Pas vraiment inconnu mais bon... Lene n'avait pas eu une vie facile non plus, et lorsqu'Alex lui raconta son histoire, elle ne put s'empêcher de frisonner et de rester très calme pendant quelques secondes, se qui n'était pas à son habitude. Pour une fois elle était sérieuse, alors qu'elle l'était rarement. Elle tourna alors son regard vers Alex qu'elle avait perdu de vue.

« Je pourrais te dire que j'suis désolé pour toi, mais ça changerait rien ... »

Elle resta un instant à regarder dans le vide, ça avait dut être difficile pour lui de vivre ça, et elle était très contente qu'il se confit à elle, elle qui n'avait jamais vraiment eu de confidents. Elle se mit alors face à lui, et voulut faire de même, comme ça ils seraient quitte.

« Puisque tu te confies à moi, alors moi aussi. J'ai toujours vécu avec ma mère, enfin jusqu'à ce que je comprenne la véritée. La véritée difficile à entendre, mais que m'a mère s'est efforcé de cacher. J'ai appris, quand j'avais 13 ans, que ma mère était danseuse dans une boite de nuit et un soir, on l'a payé. Tu vois pourquoi faire je suppose et... Je suis née comme ça. Je suis née même pas désirée, je suis née en pleine nuit, dehors, contre un mur. »

Alex fut touché que Lene lui confit aussi une partie de sa vie. Il était deux adolescent, en manque d'amour et de soutien, deux ado en pleines rue qui parlait de choses sérieuse alors qu'ils ne pensaient qu'a s'amuser, deux ado qui au fond d'eux même se comprennaient. Alex pouvait bien dire que de toute façon puisqu'elle était née peut importe mais c'était faux vut qu'il ne le pensait pas.

"Je suis désolé pour toi aussi, sa change rien je sais bien mais sa vient du coeur. Je te comprend."

On était en plein dans le mélodrame façon histoire à l'eau de rose. Abandonnés dans ce monde de fou, dans ce monde qui tourne trop vite, dans ce monde qui tourne à l'envers, dans ce monde qui est stone. La fin du monde est proche, les gens ne savent pas ce qu'ils font! Alex, veuf à dix sept ans, vit pour une fille morte et Lene, fille non désirée qui ne foit pas connaitre le mot Maman... Quoique tout les jeunes de ce pensionnat devait avoir des problémes parentaux. Alex avait le regard perdu dans un monde où l'on ne voit que des horreurs.

Lene se remit alors à côté d'Alex et ils continuèrent à marcher l'un à côté de l'autre. La jeune fille ne savait plus trop quoi dire, elle venait de tout déballer, d'un côté, ça faisait du bien. Lene n'avait plus à essayer d'expliquer pourquoi elle était en colère lorsqu'on prononçait le mot 'Maman' ou même le mot 'Parents', ce qui était d'ailleurs la raison de son dernier renvoi. Elle avait cracher à la gueule de son directeur parce qu'il lui avait dis qu'elle n'avait pas reçu d'éducation, parce que ses parents l'elevait mal. Mais au stade où elle en était, elle n'avait plus ni père, ni mère.

« Alors on se comprends. Ca fait du bien de parler comme ça, de se confier. »

Elle souria et mordit dans sa pomme, tout en continuant de marcher aux côtés d'Alex.

« Mais la vie est belle, les oiseaux chantent. Ca servirait à rien de chialer toute les 10 minutes, autant profiter de la vie, tant qu'on peu, et en profiter à fond. »

Les deux jeunes gens marchaient, presque silencieux. Alex regardait par terre, Lene croqua dans la pomme. On se croirait dans le scénario d'Adam et Eve mais est-ce que c'est vraiment la pomme du péché ou je ne sais quoi? Nannn Alex! Boulet... Alexandre se rapellait de son départ pour içi. Sa mére passait ses journées à pleurer et Alex devenait de plus en plus agressif. Puis un beau jour il partit contre son grés içi, sa mére doit encore pleurer à l'heure qu'il est mais on s'en fout non?

"Ouais les oiseaux sont heureux alors pourquoi pas nous, pourquoi faut toujours que les gens aye prit de la drogue pour rire? Enfin bon je me lançe dans mon discour philosophique mais sa n'en vaut pas la peine..."

Alex vit un banc et il avait un peu mal au pieds, s'assoire? Bonne idée.

"Tu veux pas qu'on s'assoivent cinq minutes?"

Lene regarda alors Alex, un veritable poète ce gars XD. Elle était franchement facinée, lui qui avait dût suivre 1 cours sur 30 dans toute sa vie donnait une sale moyenne, pourtant il employait de tel mot, il faisait de telle conclusion... Ca étonnait legerement Lene, elle qui avait toujours eu des capacités en français, elle qui avait toujours eu des 17 aux rédactions alors qu'elle ne bossait jamais. M'enfiin bon.

« J'ai jamais rien comprit à la philosophie, alors si tu me fais tout un recit, je risque de pas capter grand chose. »

Elle souria et fit un signe de tête à Alex avant de se jetter sur le banc et de commencer à retirer ses chaussures. Elle jetta sa converse sur le sol, puis prit l'autre et la laissa tout simplement au pied du banc. Elle mit sa main et se mit à l'aise sur le banc, leva la tête vers le soleil et ferma un instant les yeux.

Alex lui avait toujours gérer de partout, malgré qu'il n'aye pas suivit enormément de cour dans sa vie il est vrai qu'il avait une maniére de s'exprimer qui portait à la meditation ,chacun son truc, Alex n'avait jamais comprit les maths quoiqu'en-étant allé peut de fois il est dur de suivre vraiment.

"T'inquiéte je te ferais pas tout un récit, sauf si tu lançe le débat mais la fraudra engager un traducteur par ce que si je m'emballe..."

Alex savait que souvent les gens avaient du mal à comprendre ce qu'il disait, mais bon lui aussi parfois avait du mal à les comprendre, il faut dire que les autres aussi étaient dans un monde bizzard... Alex s'assit à son tour, il se sentait mieux d'un coup! Il sortit une cigarette du paquet qui trainait toujours dans sa poche et sortit un briquet, il tendit le paquet à Lene comme pour lui demander si elle en voulait une. Il alluma la sienne.